14 décembre 2009

Maria Luisa Prada Su ultimo libro El hierro del Mayoral



Vivir al Sol 12,95 €
KRK ediciones Portada de Manuel G.Linares

En el Tunel 13,95 €
KRK ediciones Portada Ricard Novell.


Bajo el Agua 13,95 €
KRK ediciones Portada de María Fernández


Una cita en Arles
14,95 €
KRK ediciones









Manarola  14,95 € KRK ediciones
Et voici son tout dernier

El hierro del Mayoral de María Luisa Prada Sarasúa
Salida a la venta diciembre 2009 Comprar en KRK ediciones  18,95 €








 El hierro del mayoral es una historia apasionante y conmovedora, llena de engaños, odio, envidia y celos, pero también de sacrificio, amor y lealtad, cuya lectura no dará tregua al lector hasta hacerle llegar a conocer cómo en la vorágine que estamos viviendo, casi nadie es quien dice ser y casi nada es lo que parece.

Maria Luisa Prada Sarasua nous vient des Asturies, elle est née à Mieres (Espagne,Asturies), c’est dans cette petite ville qu’elle a vécue ses premières années avant de déménager vers Gijon, ville dans laquelle elle réside actuellement et dans laquelle elle a créée sa propres entreprise qu’elle dirige elle même. Polyglotte, passionnée de littérature, et dédiée à une profession proche de la littérature, elle a décidée de rentrer dans ce monde passionnant avec le désir que possèdent tous ceux qui ont quelque chose à raconter. En avril 2004, elle publie son premier roman, “Vivir al sol”, dont le succès la pousse à publier en avril 2005, “Bajo el agua”, qui est sa seconde oeuvre et dont l’illusion et le succès ont été au rendez-vous. Un an plus tard, en avril 2006, elle publie son troisième roman dont le titre est « En el tunel », qui lui aussi dépasse toutes les espérances. Finalement, en avril 2007, son quatrième  roman intitulé « Una cita en Arles » voit le jour avec un récit marqué par l’histoire de plusieurs jeunes enfants qui, durant la guerre Civile espagnole, ont dus s’exiler et dont le passé va les rattraper bien des années plus tard à travers un certain mystère. Puis elle nous plonge dans le monde des prix littéraires avec les deux mystérieux romans identiques envoyés  par une Manarola depuis différents pays et copie conforme à  celui inachevé de Ornella Cattoni déjà décédée et dont le Prix porte le nom. Et maintenant arrive son dernier El hierro del Mayoral .Fidèle à son écriture nuancée elle est passée maitre dans l'art du mystère lié aux hommes et femmes de ses paysages asturiens . Elle nous mène dans les secrets de famille avec une aisance d'écriture qui nous transporte jusqu'au bout des histoires qu'elle nous raconte comme si nous étions dans un veillée au coin du feux et que lorsque l'histoire est finie, on regrette de quitter son monde pour entrer dans notre réalité. C'est une magnifque conteurse faiseuse de mystères. J'ai souvent parlé avec elle et sa joie de conter est une passion , non un négoce. Je vous recommande tous ses livres fortement .

Maria Luisa Prada
Visitar a Maria Luisa en su portal / Pour en savoir plus allez visiter son site http://www.marialuisaprada.com/publicaciones.htm




Conviene hablar de las cubiertas de los libros de Maria Luisa 
Sus Portadas sintonizan y se armonizan con la obra escrita hasta formar un conjunto "interpenetrado", un solo objeto con dos tipos de escritura la que se expresa visualmente y la que se expresa con las palabras. Me gusta y encuentro interesante esta forma de apoyo mutuo entre artistas. Sus portadas reproducen obras de artistas asturianos.
Para esta ultima novela ha escogido como pintor al asturiano  Valentín del Fresno (Infiesto - 1943) cuyas acuarelas de luces matizadas dan a sus cuadros ese particular ambiente misterioso que se desprende de Asturias











Valentin del Fresno 

Acuarela  Cabo Vidio
Se pueden ver mas en  en Pincel galeria
En Vivir al sol el artista es Manuel G.Linares . He encontrado,otro cuadro suyo en una Exposición colectiva Asturiana en el Cervantes6 de Oviedo


Pravia Encuentro de escritores 14/11/08 (Maria Luisa a la derecha)


3 commentaires:

  1. Me he leido Una cita en Arles y lo he encontrado ameno e interesante lo recomiendo

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  2. Il y a des romans qui vous transportent dans une histoire, d’autres qui vous font découvrir l’Histoire avec une grande H comme dirait Pérec, « Cita en Arles » parvient à mêler les deux à la perfection. L’intrigue nous emmène dans un va et viens entre le passé et le présent de plusieurs personnages qui ont tous vécus la même vie mais différemment, et quand le passé revient à la surface sans prévenir, que se passe-t-il ?
    Alors qu’à Paris, les émeutes en banlieue troublent l’opinion publique et menacent l’ordre public, le Secrétariat de la Présidence du Gouvernement français cherche à localiser une liste de personnes. Au milieu de cette liste, un nom : Manuel Cordero, un homme de 80 ans qui réside à Arles depuis son arrivée à l’age de 10 ans suite à un exil forcé par la Guerre Civile espagnole. Pourquoi recherche t-on cet homme qui mène une existence paisible dans ce beau pays d’accueil qu’est la France ? Son exil imposé par les circonstances de la Guerre Civile espagnole ayant également imposé sa séparation avec son frère cadet Santiago sont-elles à l’origine de cette recherche ? Tous les amis d’exil de Manuel ne savent que penser ; le mystère plane autour de lui et la solution trouvera t-elle son issue dans la belle ville d’Arles ?
    Mené dans un style simple et didactique, le récit mêle à la fois la fiction et la réalité à travers les histoires d’enfants exilés dont l’Histoire ne parle pas assez à mon goût. Par le biais de récits de survies, en nous racontant l’histoire de chacun, Maria Luisa Prada parvient à nous dévoiler chacune des fils qui tissent cette toile d’araignée qui se forme sous nos yeux pour enfin nous dévoiler la vérité. Véritable hommage à ceux qui ont aidés ces enfants exilés de force loin de leur pays, « Cita en Arles » est une de ses lectures qui vous touche au cœur et qui montrent à quel point la vie est belle même si parfois elle sait très bien nous mettre de nombreux obstacles sur la route…Espoir, courage et entraide forme les piliers de ce roman à découvrir les yeux fermés…

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  3. Bajo el agua est plein de mystère et nostalgique j'ai bien aimé j'ai passé un bon moment

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