Película acerca de la Nueve, la división compuesta por españoles que liberaron Paris de los Alemanes nazis
La Nueve ou les oubliés de la victoire,
d'Alberto Marquardt
La Nueve ou les oubliés de la victoire,
d'Alberto Marquardt
Infos suplémentaires
Acerca de Alberto Marquardt (Argentina)
Argentino radicado hace más de 20 años en Francia, víctima de la dictadura militar en su país. Debuta en el cine como director y guionista del largometraje documental Yo, sor Alice (1999), con el que obtuvo el Segundo Premio Coral de documentales en el 23 Festival Internacional del Nuevo Cine Latinoamericano de La Habana. El film es una travesía por un período de la historia argentina de la mano de Alice Domon, una religiosa francesa perteneciente a la congregacion Hermanas de las Misiones Extranjeras, que vivió en Argentina desde 1967 y fue secuestrada y desaparecida por la última dictadura militar por su compromiso social junto a los pobres. La visión de la propia Alice sobre esos años difíciles es narrada a través de la lectura de las correspondencia que ella mantuvo con su familia. Sus cartas revelan la confrontación con una sociedad en crisis y el avance de su compromiso con la realidad que le tocó vivir. Via Portal de cine y audiovisual latino americano y caribeño
Autre film du même réalisateur sur les disparus d'Argentine
Plus de 30 000 personnes ont disparu en Argentine, des prémices de la dictature en 1975 à sa chute en 1983.
Jeune militant de l'ERP, un des mouvements de lutte armée, Alberto Marquardt est arrêté en 1976, mais il ressort vivant de cinq ans de prison. Puis il s'exile à Paris ou il devient caméraman.
Lors d'une visite en Argentine en 1995, il décide de tourner un film sur les milliers de morts sans cercueil, dont les bourreaux n'ont jamais été vraiment jugés, en choisissant de retracer l'itinéraire d'Alice Domon, une religieuse disparue a Buenos Aires en 1977.
Jeune militant de l'ERP, un des mouvements de lutte armée, Alberto Marquardt est arrêté en 1976, mais il ressort vivant de cinq ans de prison. Puis il s'exile à Paris ou il devient caméraman.
Lors d'une visite en Argentine en 1995, il décide de tourner un film sur les milliers de morts sans cercueil, dont les bourreaux n'ont jamais été vraiment jugés, en choisissant de retracer l'itinéraire d'Alice Domon, une religieuse disparue a Buenos Aires en 1977.
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